Pascal Blanchard, le magnétisme au service d\'autrui

Pascal Blanchard, le magnétisme au service d\'autrui

Introduction aux courants telluriques

Les courants telluriques sont détectables de manière concrète avec un peu de technologie. Nul besoin d’une baguette ou d’un pendule. Vous pouvez utiliser un détecteur de radio fréquence. Un modèle simple qui balaie une fréquence de 10 mégas à 4.5 giga hertz.

 

Appareils introuvable en France, le Zap Checker était utilisé initialement pour détecter les puces et les micros-espions. Il est utilisé de nos jours pour déterminer la pollution-électromagnétique. Notre technologie reste encore très chère et n’est quasiment accessible qu’aux professionnels. Mais ce matériel existe et il prouve l’existence des courants telluriques. Certains pays s’en servent d’ailleurs pour prévoir les tremblements de terre.  Petite parenthèse : le projet HAARP serait né des recherches sur l’électromagnétisme et les appareils de détection des courants.


Nous allons commencer par le plus connu : Le réseau Global ou réseau Hartmann. Il porte le nom de l'homme qui l'a découvert au début des années 1950. Le Dr Ernst Hartmann. Il porte aussi le nom de réseau global ou universel car il recouvre toute la surface de la planète. C'est un réseau considéré comme tellurique.

 

Voici les caractéristiques de ce réseau : (identification sur un sol dit neutre)
- Bandes orientées Nord-Sud et Est-Ouest, chaque bande fait une largeur d’environ 21 cm. Ce réseau tellurique est en fait un simple quadrillage, un peu comme les cahiers d’écoliers. Les mailles sont formées par les bandes citées ci-dessus et sont de forme carrée.
- Le quadrillage forme donc des mailles de 2m dans le sens Nord-Sud et 2,50m dans le sens Est-Ouest.
- Chaque maille est donc séparée par les bandes de 21cm.
- Ce quadrillage n’est pas figé, il est déformable.
Il faut aussi comprendre qu’il s’agit d’un réseau « vertical » C'est-à-dire qu’il s’étend sur la surface du globe et aussi vers le bas, même en haute altitude, et vers le bas, en sous-sol.

Le réseau diagonal ou réseau Curry :
Il porte le nom du Dr Curry. Il porte aussi le nom de réseau diagonal car il est orienté en diagonal par rapport au réseau global. Lui aussi recouvre toute la surface de la planète, il est également tellurique et peut croiser les autres réseaux. Les boucles ou « croisements » de 2 réseaux engendrent des perturbations géomagnétiques et éventuellement la déformation des réseaux impliqués. Les caractéristiques du réseau Curry (sur sol neutre)
- Des bandes orientées Nord-Est Sud-Ouest et Nord-Ouest Sud-Est d'une largeur de 40cm.

- Les mailles formées par ces bandes ont les dimensions suivantes :
- de 3m à 16m dans le sens Nord-Est Sud-Ouest
- de 3m à 16m dans le sens Nord-Ouest Sud-Est
Elles sont de forme carrée, comme le réseau Hartmann.
- C’est un réseau déformable et il est également vertical.

Le réseau double :
Ce réseau est en fait une particularité du réseau Hartmann. À des intervalles de 10m apparaissent des bandes plus larges appelées Réseau double constitué de 2 bandes du réseau Hartmann. C'est un réseau tellurique, comme les autres.
Caractéristiques (sur sol neutre) :
- Des bandes orientées Nord-Sud et Est-Ouest d'une largeur de 42cm.

- Les mailles formées par ces bandes ont les dimensions suivantes :
- 10m dans le sens Nord-Sud
- 10m dans le sens Est-Ouest

- Réseau déformable, maillage carré et orientation verticale
Le réseau Peyré :
Ce réseau n'est plus vraiment utilisé car il représente l'un des premiers réseaux découvert en 1937 par le Dr Peyré. Il est un peu tombé dans l’oubli, vous allez comprendre pourquoi.  Initialement il avait les caractéristiques suivantes :

- Des bandes orientées Nord-Sud et Est-Ouest.
- Les mailles formées par ces bandes ont les dimensions suivantes :
- 7m à 8m dans le sens Nord-Sud
- 7m à 8m dans le sens Est-Ouest

Le Dr Hartmann démontra par la suite que ce réseau était en fait le réseau Hartmann. Non pas qu’il s’attribua la découverte. Mais en effet : ses dimensions correspondent à 4 Hartmann dans le sens Nord-Sud et 3 Hartmann dans le sens Est-Ouest. Peyré en perdit alors sa légitimité au profit de Hartmann.

Le réseau Romani :
Ce réseau est intéressant car très difficile à détecter. Disons qu’il est lié aux énergies cosmo-tellurique. Ce champ est né de la loi de distribution énergétique du physicien Lucien Romani.

Il représente une demi maille du réseau Hartmann, ses caractéristiques sont :
- Des bandes orientées Nord-Sud et Est-Ouest.
- Les mailles formées par ces bandes ont les dimensions suivantes :
- 1.10m à 1.50m dans le sens Nord-Sud
- 1.10m à 1.50m dans le sens Est-Ouest

L’activité de ce réseau est souvent négligeable en terme de taux vibratoire, c'est pour cela qu'il vous sera difficile de le détecter. Disons qu’il faut être au bon endroit au bon moment. Même les radiesthésistes confirmés sont souvent démunis pour trouver des traces de ce courant. Par contre, les énergies cosmo-telluriques auquel il est rattaché n’ont rien de communes avec les Cheminées cosmo-telluriques. Il est bon de le savoir.  En résumé, nous ne pouvons compter que 3 réseaux telluriques. Et parmi eux, seuls deux sont détectables et usités de manière fréquente sur le terrain. C’est pourquoi en radiesthésie, vous n’entendrez parler que des courants Hartmann et Curry. Les seuls qui en fait méritent notre attention et ont une réelle influence sur l’environnement.

Maintenant nous allons aborder ce qui pourrait perturber ces réseaux au niveau du taux-vibratoire et de la distorsion.

Tout d’abord, nous pouvons citer l’eau. Une eau stagnante n’aura quasiment aucune incidence. Mais dès lors qu’il y a un mouvement, les énergies le suivent en créant généralement un courant nocif. L’eau en mouvement est un amplificateur d’ondes nocives.

Les minéraux et roches sont aussi concernés par le problème. Mais elles sont génératrices d’ondes positives ou négatives. Certaines roches à faible radioactivité sont parfois utilisées pour assainir une pièce. Ensuite, les accidents de terrain ou manifestation du relief. Ce sont généralement des trous, faille sèche, colline etc.….

Il existe trois catégories à prendre en compte :

- Les amplificateurs de nocivité comme les failles avec cours d’eau actif.
- Les générateurs de nocivité : faille sèche, trou, cave.
- Ceux qui distordent les champs d'énergie, comme les montagnes, collines...
Dans certaines églises, il y a des cavités faites exprès (non pas pour faire fuir les gens), leur but est de générer de l'énergie qui à petite dose va recharger la personne qui se trouvera au dessus.

Les ondes de forme :
Ce sont des ondes générées par des objets. Ces derniers génèrent des ondes, souvent négatives qui engendrent des perturbations de l’environnement. On parlera d’ailleurs de « champ » plutôt que d’onde négative. Les personnes présentent dans ces champs en ressentent souvent des effets subtils mais sans pouvoir détecter d’où vient le problème.



24/08/2011
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