Pascal Blanchard, le magnétisme au service d\'autrui

Nous connaissons tous la géométrie qui consiste à étudier mathématiquement parlant les espaces et les volumes. Plusieurs disciplines se dégagent de la géométrie mais il en est une qui attire notre attention :

- La géométrie sacrée.

Il s'agit toujours d’étudier espaces et volumes, mais en recherchant des proportions qui tendent à nous prouver que rien n'est fait au hasard. Nous ajoutons une dimension harmonieuse au concept de base. Ces proportions sont obtenues grâce à quelques éléments indissociables de la géométrie sacrée :

- Le nombre d'or (Phi, 1,61803399)

- Le cercle (forme parfaite)

Ce nombre d'or était connu depuis l'antiquité puisque nous retrouvons ces proportions déjà 10 000 en arrière. Plus tard, nous le retrouvons chez les Egyptiens et bien d'autres peuples. On octroie souvent à ce nombre une dimension ésotérique. Ce n'est pas tout à fait faux. Non pas que ce nombre est hermétique, mais que nous avons mis beaucoup de temps à comprendre son fonctionnement. Comment des peuples de l'antiquité pouvaient-ils connaitre ces chiffres avec une telle précision ? Difficile à dire.

Mais nous savons désormais que cette géométrie est inscrite dans toutes les formes d'art depuis des siècles. Nous la retrouvons dans la peinture, dans l'architecture, dans la nature également. De grands hommes comme Fibonacci ont contribué à aider cette science.

Cette science nous aide à comprendre que notre univers n'est pas construit sur des bases anarchiques mais bien sur des proportions cohérentes et incroyablement harmonieuses. Même si cette géométrie est observable en 2D, il est bien évident que l'ont peut en constater la manifestation probante dans des lieux comme les cathédrales, temples ou nécropoles entre autre.

Nos anciens en connaissaient les fondements et la symbolique. Au jour d'aujourd'hui, nous tentons de retrouver une partie de ce savoir qui curieusement, est imbriquée dans le magnétisme et le tellurique. Nous découvrirons le patrimoine caché de nos anciens bâtisseurs qui usaient de cette géométrie pour créer l'équilibre entre l'homme et la nature.